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New York Melody

Alors que je regardais la bande annonce de New York Melody, je me faisais la réflexion que ça faisait un petit moment que je n’avais pas regardé de comédie romantique. Et j’ai réalisé qu’en fait, ça me manquait. Parce que moi je suis comme ça : J’aime beaucoup les comédies romantiques, mais je m’en lasse vite. En regarder trop me gave, mais si je reste trop longtemps sans mon petit film romantique, j’ai comme un vide. Bref, New York Melody tombait à point nommé.

 

 

Synopsis

Greta et son petit ami de longue date décident d’emménager à New York afin de réaliser leur rêve : devenir célèbre grâce à la musique. Mais celui-ci décroche un contrat solo et quitte Greta. Le cœur brisé, celle-ci n’a pas d’autres solutions que chanter dans des bars. Un jour un producteur sur le déclin, l’entend chanter et décide de lui proposer un contrat. Chacun sera la dernière chance de l’autre. Une amitié amoureuse nait alors entre eux deux.

 

Mon avis

New York Melody est une mignone comédie. Un film qui se laisse regarder avec plaisir. Ce n’est pas le genre de film pour lequel j’ai envie d’inviter la terre entière à aller le voir (toute façon, mon ciné il est trop petit), mais disons que si on me posait la question, je le conseillerais volontiers.

 

Pourquoi NYM n’est pas la meilleure comédie ?

Parce que le film peine à démarrer. J’ai trouvé que le fil conducteur mettait du temps à se mettre ne place, et je me suis demandée un petit moment quel était l’intérêt majeur de ce film. J’ai eu un peu de mal à m’imprégner de l’histoire des personnages.

Parce que certains clichés ont la vie dure. Comme par exemple l’histoire du couple séparé, de l’ado rebelle qui s’habille comme une fille facile, mais qui heureusement va se remettre en question grâce à l’arrivée d’une nouvelle adulte dans sa vie… et en plus elle va découvrir que non elle n’est pas une bonne à rien. Pourquoi faut toujours que dans ce genre de comédie il y ait une ado rebelle et provocante ?

Parce que, pour ma part, je n’ai pas été convaincue par le rôle du petit ami de Greta. J’ai trouvé Adam Levine trop en retrait dans son rôle. Pour moi, il manquait de conviction dans la peau du gars qui ne jure que par la gloire. Je sais que beaucoup l’ont trouvé très bien, mais moi il m’a manqué quelque chose.

 

Et pourquoi, malgré ces défauts ce film vaut-il la peine d’être vu ?

Parce que ça se passe à New York, qu’on déambule dans la ville avec les personnages, et qu’une visite de New York ça ne se refuse pas.

Parce que la musique, qui tient un rôle majeur dans l’histoire, est superbe. D’ailleurs, en y réfléchissant j’ai envie de dire que le personnage principal de cette comédie ce n’est pas Greta, mais la musique elle-même. Car elle nous accompagne tout le long du film, elle est ce qui lie tous les personnages entre eux, elle est le vrai fil conducteur.

Parce que le duo Keira Knightley et Mark Ruffalo fonctionne bien, et pourtant je n’aurais pas parié dessus. J’ai aimé la relation qui se crée entre les deux personnages, mais surtout j’ai apprécié que le réalisateur ne tombe pas dans le cliché du sentimentalisme. Ici, si l’on peut deviner que ces chers personnages ont des émotions humaines (ce qui est somme toute normal), on ne perd pas de vue que le thème principal du film est la musique. Pas de mièvrerie inutile, c’est appréciable.

 

En conclusion, New York Melody est un film à aller voir pour les amoureux de New York et de la musique.

 

Le cinéclub du mercredi #6

Le mercredi, c’est le jour des sorties ciné. Et c’est aussi le jour du cinéclub, le rendez-vous où je vous parle de mes films vus pendant le semaine sur petit et grand écran.

 

Cinema

 

 

Au cinéma, j’ai vu

Dans un futur proche, un groupe de scientifiques tente de concevoir le premier ordinateur doté d’une conscience et capable réfléchir de manière autonome. Ils doivent faire face aux attaques de terroristes anti-technologie qui voient dans ce projet une menace pour l’espèce humaine. Lorsque le scientifique à la tête du projet est assassiné, sa femme se sert de l’avancée de ses travaux pour « transcender » l’esprit de son mari dans le premier super ordinateur de l’histoire. Pouvant désormais contrôler tous les réseaux liés à internet, il devient ainsi quasi omnipotent. Mais comment l’arrêter s’il perdait ce qui lui reste d’humanité ?

La bande annonce est très sympa, l’idée du scénario est très bonne. Il y avait vraiment de quoi faire un très bon film. Mais non, ça pêche. Les idées et les thèmes sont mal exploités ou paraissent inachevés. On a l’impression que les solutions sont trop facilement apportées sans réelle réflexion derrière… bref il y a un gros manque d’ambition dans ce film. Je ne l’ai pas trouvé nul non plus, et je ne vais pas vilipender le film comme l’on fait beaucoup de critiques, il ne mérite pas ça non plus. Mais c’est vrai qu’il est dommage de ne pas avoir exploité le potentiel du scenario.

 

 

A la télé, j’ai vu

Le milliardaire Nerio Winch s’est noyé. Vu l’enjeu que représente sa société, le Groupe W, sa mort est forcément suspecte. Un héritier inattendu fait alors surface : Largo, adopté en secret par Nerio.

Bah… super bof quoi !! L’histoire peine à se mettre en place, c’est souvent très prévisible, et même le jeu des acteurs ne m’a pas convaincue. J’ai trouvé que Tommer Sisley manquait totalement de charisme pour ce rôle. Bref, déçue !

 

Et ce sera tout pour cette semaine, qui, il faut bien l’avouer, ne fut pas terrible cinématographiquement parlant. J’espère me rattraper la semaine prochaine 🙂

 

Le cinéclub du mercredi #5

Aujourd’hui c’est mercredi, c’est le jour du cinéclub. Je vais donc vous présenter les films vus durant la semaine écoulée.

 

Cinema

 

 

 

Les films vus sur grand écran

 

Dans un future proche, des hordes d’extraterrestres extrêmement organisés, appelés les Mimics, ont livré une bataille acharnée contre la Terre, réduisant les grandes villes en cendres et causant la mort de millions d’êtres humains. Aucune armée au monde n’est à même de rivaliser avec la rapidité, la violence et les capacités cognitives exceptionnelles des combattants Mimics, très bien armés, ou de leurs chefs dotés de pouvoirs télépathiques. Mais à présent, les armées du monde ont réuni leurs forces pour une ultime offensive à quitte ou double contre les extraterrestres…

Bon. Tom Cruise en héros qui va sauver le monde… c’est presque rébarbatif. Je m’attendais à voir un énième film d’action à la sauce Hollywoodienne, rien de plus. Et soyons clairs, c’est exactement ça ! Mais j’ai adoré !! Parce que non, film à gros budget et à effets spéciaux ne veut pas systématiquement dire Film creux.  J’ai trouvé le scénario bien pensé et bien travaillé. Et pour ma part, je ne me suis pas ennuyée du tout !

 

 

Le lieutenant écossais Eric Lomax, a été fait prisonnier par les Japonais à Singapour durant la Seconde Guerre mondiale et envoyé dans un camp en Thaïlande. Là-bas, il a été forcé de contribuer à la construction du fameux pont sur la rivière Kwaï. Des années plus tard, il souffre toujours d’un stress post-traumatique. Sa deuxième femme, Patricia Wallace, décidée à l’aider à surmonter ses démons, découvre que le jeune officier japonais qui hante sa mémoire est toujours vivant. Doit-elle donner à Eric une chance de se confronter à celui qui l’a torturé ? 

Apparemment, ce film n’a pas vraiment été encensé par la critique professionnelle… ni par les spectateurs, d’ailleurs. Moi, j’ai aimé ce film !! Ce n’est pas le meilleur film de l’année, certes, mais selon moi, il est loin de mériter d’être si négativement critiqué… Tout d’abord, parce que l’histoire est passionnante. Il s’agit d’une histoire vraie, il est vrai, dramatique, mais aussi très méconnue. Je ne parle pas là simplement de l’histoire du personnage, mais plus généralement de l’Histoire avec un grand H. Ensuite, et bien c’est très bien interprété de la part des acteurs. Enfin… à part Nicole Kidman, mais ce n’est pas tant l’actrice qui joue mal que son rôle qui manque de consistance. Et pour finir, j’ai trouvé ce film visuellement beau. Enfin… façon de parler, parce qu’évidemment, voir un homme en torturer un autre, y a plus beau. Mais disons que j’ai trouvé très saisissant la façon dont étaient filmées ces scènes, justement.
En clair, je vous recommande ce film.

 

 

Lorsque la petite mercière d’Arras découvre qu’elle a gagné 18 millions à la loterie et qu’elle peut désormais s’offrir tout ce qu’elle veut, elle n’a qu’une crainte : perdre cette vie modeste faite de bonheurs simples qu’elle chérit par-dessus tout. Mais le destin est obstiné, et c’est en renonçant trop longtemps à cette bonne fortune qu’elle va déclencher, bien malgré elle, un ouragan qui va tout changer. Tout, sauf elle. 

Après la lecture du roman qui m’avait bien plu, j’avais évidemment envie de voir cette interprétation cinématographique. En plus avec Mathilde Seigner, une actrice que j’apprécie. Et au final, ça donne un film sympathique, qui se laisse regarder, mais qui ne fera pas parti de mon top 100.  J’ai apprécié retrouver l’univers de la mercerie de Jocelyne, qui m’avait tant plu dans le livre. J’ai aussi aimé retrouver les personnages, comme les Danielles, Mado, le père de Jocelyne…. Tout l’humour et l’émotions de l’histoire sont bien présents dans le film. Mais voilà, j’ai l’impression qu’il manquait comme un petit grain de folie pour rendre ce film non pas juste sympa, mais captivant. Donc, film sympa, mais peut mieux faire.

 

 

Les films vus à la télé

 

À l’origine, Abel et Junon eurent deux enfants, Joseph et Elizabeth. Atteint d’une maladie génétique rare, le petit Joseph devait recevoir une greffe de moelle osseuse. Elizabeth n’était pas compatible, ses parents conçurent alors un troisième enfant dans l’espoir de sauver Joseph. Mais Henri qui allait bientôt naître, lui non plus, ne pouvait rien pour son frère – et Joseph mourut à l’âge de sept ans. Après la naissance d’un petit dernier, Ivan, la famille Vuillard se remet doucement de la mort du premier-né. Les années ont passé, Elizabeth est devenue écrivain de théâtre à Paris. Henri court de bonnes affaires en faillites frauduleuses, et Ivan, l’adolescent au bord du gouffre, est devenu le père presque raisonnable de deux garçons étranges. Un jour fatal, Elizabeth, excédée par les abus de son mauvais frère, a « banni » Henri, solennellement. Plus personne ne sait exactement ce qui s’est passé, ni pourquoi. Henri a disparu, et la famille semble aujourd’hui dissoute. Seul Simon, le neveu de Junon, recueilli par sa tante à la mort de ses parents, maintient difficilement le semblant d’un lien entre les parents provinciaux, la soeur vertueuse, le frère incertain et le frère honni…

Euh… je me suis grave fait chier !! Et j’ai eu du mal à aller au bout du film. Trop de secrets de famille, trop d’embrouilles dont je n’arrivais plus à tirer les ficelles, trop de répliques dites à toute vitesse et censées faire mouche au-près du spectateur… Bref, un film qui veut jouer sur le côté familial réaliste, mais qui ne m’a absolument pas touché.

 

Le cinéclub n°5 est terminé, on se donne rendez-vous mercredi prochain avec des nouveaux films !

Le cinéclub du mercredi #4

Bonjour les gens, aujourd’hui c’est mercredi. Et le mercredi, c’est le jour du cinéclub.
Je vous présente donc les films vus au cours de la semaine passée. Et là, en l’occurrence ce sera sur les 15 derniers jours, puisque la semaine dernière j’étais en vacances.

 

Cinema

 

 

Les films vus au cinéma 

Maléfique est une belle jeune femme au coeur pur qui mène une vie idyllique au sein d’une paisible forêt dans un royaume où règnent le bonheur et l’harmonie. Un jour, une armée d’envahisseurs menace les frontières du pays et Maléfique, n’écoutant que son courage, s’élève en féroce protectrice de cette terre. Dans cette lutte acharnée, une personne en qui elle avait foi va la trahir, déclenchant en elle une souffrance à nulle autre pareille qui va petit à petit transformer son coeur pur en un coeur de pierre. Bien décidée à se venger, elle s’engage dans une bataille épique avec le successeur du roi, jetant une terrible malédiction sur sa fille qui vient de naître, Aurore. 

J’ai adoré ! Découvrir la face cachée de ce conte populaire dont je croyais tout connaître, j’avoue que ça m’a bien plu. Les acteurs ont été vraiment très bien choisis, que ce soit Angelina Jolie qui incarne une Maléfique absolument redoutable, ou bien Elle Fanning dans le rôle de la princesse Aurore. L’image est superbe, avec des effets spéciaux de très bonne qualité. Et d’ailleurs, pour une fois j’ai regretté de ne pas être allée voir le film en 3D.
Donc, Maléfique c’est une histoire originale, de l’aventure, de l’innocence, de l’humour, une opposition du bien et du mal, et pour finir une morale qui, si elle se devine facilement au fil de l’histoire, ne tombe pas pour autant dans le cliché niaiseux.

 

 

La famille Weiss fait partie de la dynastie Hollywoodienne typique: le père Stafford, est un ancien entraîneur, qui a fait fortune avec ses livres d’autogestion ; la mère Cristina, pousse la carrière de leur fils Benjie, 13 ans, un enfant star. L’un des clients de Stafford, une actrice Havana, rêve de tourner un remake du film qui a fait de sa mère, Clarice, une star dans les années 60. La mort de sa mère hante ses nuits. Benjie vient de terminer une cure de désintoxication qu’il avait commencée à l’âge de 9 ans, quant à sa sœur, Agatha, elle a été récemment libérée d’une peine pour pyromanie… Elle s’est liée d’amitié avec Jérôme, un chauffeur de limousine qui est aussi un acteur en herbe.

Après Maléfique, on change totalement de registre. D’une manière générale je dirais sympa, mais peut mieux faire.
Dans ce film, David Chronenberg prend le parti de critiquer et d’exagérer l’industrie hollywoodienne. Sur le coup, j’avais trouvé le synopsis sympa, et puis la bande annonce m’avait donnée envie de voir le film. L’histoire est plutôt bien ficelée, avec des acteurs convaincants. Le problème, c’est que j’ai eu l’impression d’un trop plein d’exagération. Que ce soit dans les thèmes abordés tels que l’inceste, la folie… ou bien dans cette moquerie du star system. Ce manque de subtilité m’a finalement empêché d’apprécier complètement ce film, qui pourtant avait de bonnes bases.

 

 

Les films vus sur le petit écran

Le film retrace les huit dernières années de la vie d’Harvey Milk. Dans les années 70, il fut le premier homme politique américain ouvertement gay à être élu à des fonctions officielles, à San Francisco en Californie. Son combat pour la tolérance et l’intégration des communautés homosexuelles lui coûta la vie. Son action a changé les mentalités, et son engagement a changé l’histoire.

Un film à voir sans hésitation ! Parce qu’il parle d’un sujet de société important qui parle d’un homme qui a eu le courage de faire avancer les choses concernant le droit des homosexuels. Et pourtant, au départ ce n’était pas gagné, car de nombreux conservateurs ne voyaient pas d’un bon oeil que ces hommes et femmes « agissant contre nature » puissent être reconnus comme les égaux des Hommes normaux (Déjà qu’ils ont dus admettre que les noirs avaient eux aussi des droits… faudrait pas pousser le bouchon avec les gays, quoi !).
De plus, le casting est excellent !! Sean Penn est bien sûr magnifique dans le rôle d’Harvey Milk, tout en force et en émotion. Mais les autres rôles sont également parfaitement interprétés, que ce soit Josh Brolin dans le rôle de l’adversaire, James Franco dans le rôle du petit ami, ou encore Diego Luna.
Donc, une fois de plus, je vous conseille fortement ce film.

 

 

Irlande, 1920. Des paysans s’unissent pour former une armée de volontaires contre les redoutables Black and Tans, troupes anglaises envoyées par bateaux entiers pour mater les velléités d’indépendance du peuple irlandais.Par sens du devoir et amour de son pays, Damien abandonne sa jeune carrière de médecin et rejoint son frère Teddy dans le dangereux combat pour la liberté…

Un très beau film, plein d »émotion, qui retrace les prémices de la Guerre Civile irlandaise. J’ai aimé l’interprétation des acteurs. J’ai aimé aussi avoir un aperçu de cette période historique que, finalement, je ne connais pas si bien que cela. Si je suis bien sûr au courant qu’il y a eu un mouvement d’indépendance en Irlande, j’avoue ne pas pas savoir ni quand, ni comment, ni pourquoi tout cela a commencé.
Un film à voir, donc.

 

 

Dans un avenir proche, les élèves de la classe B de 3ème du collège Shiroiwa ont été amenés sur une île déserte par une armée mystérieuse. Un adulte surgit tout à coup devant eux : leur ancien professeur Kitano. Il leur annonce qu’ils vont participer à un jeu de massacre dont la règle consiste à s’entretuer. Seul le dernier des survivants pourra regagner son foyer.

J’ai voulu voir ce film car nombreux sont ceux qui prétendent que Hunger games est une copie de Battle Royale. Or, s’il est vrai que nous avons dans les deux films le cas de jeunes qui vont s’entre-tuer jusqu’au dernier, pour moi la comparaison s’arrête ici. Car le sujet est traité complètement différemment, les tenants et les aboutissants divergent totalement d’un film à l’autre.
Clairement, j’ai été assez déçue par ce film. Je l’ai trouvé trop violent, mais surtout d’une violence inutile qui pour moi ne servait qu’à faire des effets gores à l’écran. Je n’ai pas été convaincue par la raison pour laquelle les adolescents doivent s’entre-tuer. Elle avait quelque chose de trop dérangeant pour moi. Vous allez me dire que dans Hunger Games, l’idée de la téléréalité pour amuser les riches, c’est pas vraiment sain non plus. C’est vrai. Sauf que contrairement à Hunger Games qui affiche clairement une oeuvre de fiction (les personnages déjantés, les lieux inventés…), Battle Royale semble s’inscrire plus dans une réalité possible, et personnellement, ça ne m’a pas plu.
Pour finir, j’ai trouvé la fin bien bizarre, et j’ai l’impression que le film se termine en queue de poisson.
Une déception pour moi, donc.

 

 

Après avoir perdu son père, Chris d’Amico/Red Mist prépare sa vengeance contre Hit Girl et Kick-Ass responsable de la mort de toute sa famille. Il apprend a devenir un vrai méchant en pratiquant les arts martiaux et en créant une communauté de super-vilains venus du monde entier. Mais Hit-Girl avait fait la promesse à son père de vivre comme une jeune fille normale, et de ne plus tuer, en raccrochant son costume et en abandonnant la carrière de super-héros. Mais elle aura du mal à s’y résoudre…Et décrochera son costume pour tuer de nouveau. 

J’avais trouvé le premier sympathique mais sans plus, et d’ailleurs je n’avais pas voulu aller voir ce 2ème opus au cinéma. Et finalement, je l’ai trouvé meilleur que le premier.
Kick-ass, c’est avant tout un film pour se divertir, avec des scènes de combats, de l’humour, de la dérision… Dedans, il  y a pas mal de clichés, de scènes ou personnages stéréotypés… certainement plus que dans le 1er. Mais paradoxalement, ça ne m’a pas gênée. Au contraire, je crois que c’est justement ce qui fait l’intérêt de ce film : une parodie des super héros, mais qui s’assume en tant que tel. Et puis surtout, il y a Motherfucker, et moi j’ai adoré ce personnage ^^

 

Voilà pour cette semaine. On se retrouve mercredi prochain avec des nouveaux films 🙂