Article reconnu d’utilité publique

Toi qui écrie des article sur ton blog, toi qui espère etre lut par un maximum de personne, tu te dit que se serez bien si ton article ne comportait pas des fautes d’orthographe où de grammaire tout les trois mots. Tu te dit que sans ses fautes tes avis en serais bien plus agréablent à lire. Et t’as pas tord.
Avouez que si j’aurais écris tout mon avis avec des phrases comme sa, certain d’entre vous aurez attrapper mal a la tète. Ou pas.

[ça n’a pas l’air comme ça, mais se forcer à faire des fautes c’est tout un art].

 

L’orthographe : une histoire de haine ou de passion ? 

N’avez-vous jamais entendu dire, ou dit vous même cette célèbre phrase : « Oh, moi tu sais l’orthographe j’ai toujours été nul. J’avais toujours zéro aux dictées ». Comme si c’était une fatalité contre laquelle on ne pouvait rien faire.

Alors n’y peut-on quelque chose ou n’y peut-on rien ?
Il est vrai que le fait d’écrire correctement est quelque chose de plus ou moins inné. Pour certaines personnes, l’orthographe d’un mot, l’accord d’un verbe ou d’un adjectif tombe sous le sens et pas besoin de réfléchir pendant vingt minutes. En revanche pour d’autres… c’est mission impossible. Ou presque.
Certains vont être très à l’aise avec les chiffres, tandis que d’autres (ma pomme par exemple) vont devoir se torturer l’esprit pour faire une addition de plus de trois chiffres.

Et si moi-même je maîtrise plutôt bien l’orthographe et la grammaire, il m’arrive parfois d’avoir des doutes. Et moi, je n’aime pas faire des fautes dans mes textes. Alors un jour, j’ai acheté un Bescherelle.

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Présentation

Le Bescherelle se compose de trois parties :
-La conjugaison
-L’orthographe
-La grammaire

 

Si t’aurais le Bescherelle tu saurais conjuguer

La première partie, appelée « grammaire de verbe », nous rappelle les principes fondamentaux de la conjugaison. En gros qu’est ce qu’un verbe transitif ou intransitif, les verbes d’état, les auxiliaires, les différents groupes de verbes.
Ensuite, on nous explique les règles d’accord, avec ses principes généraux, ses cas particuliers, ses exceptions (parce que faut bien le dire, les français faut toujours qu’ils compliquent un peu les choses), etc.
Alors selon vous, on dit : « La moitié des lecteur trouve cet article intéressant» ou « la moitié des lecteurs trouvent cet article intéressant » ?
Enfin ce chapitre nous explique la concordance des temps. A quel moment utiliser le passé simple, ou le passé composé ? Comment conjuguer au conditionnel ?
Ah bon « si j’aurais » ça se dit pas ? Bah si j’aurais su j’aurais pas écrit cet article…

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Nous avons ensuite des tableaux de conjugaisons.
Ici on trouve des tableaux types de verbes conjugués à tous les temps. Chaque tableau reprend un type de verbe selon la groupe de verbe, la forme (active ou passive), la terminaison ou autre règle particulière.
Les tableaux sont très bien faits, agréables à lire et faciles à comprendre car ils sont assez aérés. En plus en bas des pages on trouve des petites explications et des règles.
En tout il y a tout de même 82 tableaux. Ça donne un bon aperçu des différents types de verbes.
Alors, c’est vrai qu’à première vue on peut se dire que 82 tableaux ça peut paraître beaucoup. Existerait-il tant de manières de conjuguer des verbes ? En fait, non. Certains tableaux se ressemblent en beaucoup de points. Toutefois il y a la petite chose qui fait la différence.
Prenons l’exemple de deux verbes du premier groupe : peser et céder. A première vue, on ne voit pas forcément l’utilité de faire deux tableaux de conjugaison puisque pour ces deux verbes la terminaison est la même. Ici la différence est mise sur les accents. Quand mettre un accent aigu, quand un accent grave, quand pas d’accent du tout. Et si on compare les deux verbes, on s’aperçoit qu’il y a quelques différences.
Les 82 tableaux reprennent donc tous les cas de conjugaison que l’on peut rencontrer.

Alors bien sûr, la langue française compte bien plus de 82 verbes dans son lexique. Mais faire des tableaux de conjugaison de tous les verbes bah spa possible. Alors en troisième chapitre de la partie conjugaison on trouve un index de tous les verbes, avec renvoi au tableau correspondant.
Exemple : vous voulez conjuguer le verbe « commenter ». Celui-ci n’apparaît pas dans les tableaux. Vous vous reportez donc au lexique, qui vous renvoie au tableau n°6, celui du verbe « aimer ».
Au fait vous savez comment l’éditeur a nommé la partie conjugaison ?
« L’art de conjuguer »
Ben quand on voit toutes les règles, les exceptions, les cas particuliers, les participes passés qui s’accordent dans un cas mais pas dans l’autre… ou je ne sais quoi encore, on se dit qu’effectivement, conjuguer c’est tout un art.

 
Grasse eau Bescherelle tue peux écrire cent fautes d’or tôt graphe

Alors qu’est ce qu’il nous apprend le Bescherelle de l’orthographe ?
Non, il ne se contente pas de simplement dresser une liste de mots correctement orthographiés. Sinon cela n’aurait aucun intérêt de plus qu’un dictionnaire.
Le Bescherelle orthographe nous aide à comprendre pourquoi et comment bien orthographier un mot. Mais aussi comment le prononcer.

La première partie est intitulée « Les pièges de l’orthographe ».
Et, il faut bien le dire, ils sont assez nombreux ces fameux pièges.
Les différentes règles sont répertoriées par son.
Ainsi on commence avec le son « a » et ses diverses manières de l’orthographier.
D’ailleurs c’est grâce à ce manuel que j’ai résolu un problème d’orthographe qui m’a longtemps taraudé. En fait, je ne savais jamais comment écrire les sons « ament » à la fin des mots comme « évidament », « suffisament »… etc. amment ou emment ? telle était ma question. J’ai donc cherché dans le Bescherelle si par hasard il n’y aurait pas un truc pour retenir l’orthographe. Et figurez vous que j’ai trouvé !! Et la règle est toute simple… il suffit de se reporter à la terminaison de l’adjectif. Evident = Evidemment. Suffisant = Suffisamment. Une fois qu’on le sait, ça paraît très logique, encore faut-il le savoir.
En feuilletant le manuel vous découvrirez encore tout plein de règles et usages qui vous seront bien utiles.
Un autre exemple : le son « in » ne s’écrit « en » qu’en fin de mot. Exemple : collégien, mathématicien… on ne le trouvera jamais en début de mot. Enfin il s’écrit « en » après les voyelles i, y et é (lycéen, ancien) sauf le mot Examen.
Les derniers tableaux de ce chapitre reprennent les féminins des adjectifs, et enfin les pluriels des noms composés et des adjectifs.
En tout, on trouve 32 fiches reprenant les règles de l’orthographe.

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La deuxième partie du Bescherelle orthographe porte sur les Homonymes.
Les homonymes sont des mots qui se prononcent pareil mais s’écrivent différemment.
On retrouve les homonymes inscrits dans des phrases afin de bien en comprendre le sens.
Exemple : Payer comptant…. Il avait l’air content. Bien qu’on puisse aussi être heureux de payer, dans ce cas on écrira payer content.
En parcourant ce chapitre, on se rend compte que dans certains cas, une simple erreur d’orthographe peut complètement changer le sens d’une phrase.
Jugez plutôt par cette phrase : « Assis devant l’étable, l’électeur admirait l’étoile de berger. »
Si on écrit : « Assis devant les tables, les lecteurs admiraient les toiles du berger ». Les deux phrases n’ont pas tout à fait le même sens, il faut bien le dire.

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La troisième partie porte sur l’Etymologie des mots.
Une liste reprend les principales racines grecques et latines, les préfixes ou encore les formes et noms invariables.
Je dirais que ce chapitre a plus pour but de nous informer et accroître notre culture que de nous aider dans l’orthographe d’un mot, bien que l’un soit souvent lié à l’autre.

Enfin à la fin du Bescherelle Orthographe, on trouve un lexique de plus de 18 000 mots répertoriés par liste alphabétique.
C’est d’ici que vous commencerez vos recherches orthographiques.
Vous souhaitez faire une lettre de réclamation à votre société HLM pour une histoire de fils électriques qui ont endommagé le bas de vos murs.
« Monsieur, les ouvriers qui sont venus faire des travaux chez moi n’ont pas respecté les règles essentielles de sécurité, et ont endommagé les plaintes situées dans la chambre. Si les réparations ne sont pas effectuées au plus vite, je me verrais obligée de porter plainte ». Et puis là, en écrivant un doute vous assaille ; vous n’êtes vraiment pas sûrs que « plainte dans la chambre » soit la bonne orthographe. Alors ni une, ni deux, vous vous précipitez dans le lexique du Bescherelle Orthographe et cherchez le mot « plainte ». Le lexique vous renvoie à la fiche n°8 des homonymes. Vous vous précipitez à la fiche n°8 où vous voyez écrit porter plainte (donc là vous aviez bon), la plainte du vent (qui dans cette lettre ne vous intéresse pas) et la plinthe cachait les fils électriques. C’est bien ça qui vous intéressait. Il ne vous reste plus qu’à corriger votre erreur. Le lexique renvoie aussi à la fiche 8B des pièges de l’orthographe. Partie qui reprend les différentes orthographes du sont « in ».

Dans l’ensemble le Bescherelle Orthographe est assez complet, et bien expliqué. On s’y repère facilement.
Mon seul regret concerne la fiche du pluriel des noms composés. A mon avis il aurait été assez utile de donner quelques exemples supplémentaires, mais aussi d’expliquer pourquoi dans tel cas on met le pluriel et dans tel autre cas on ne le met pas. Même si pour moi, en réfléchissant deux minutes je comprends la logique, cela pourrait être utile à certaines personnes.

 

Le Bescherelle : Le livre ou tu peux réviser tes règles de grammaire, malgré que tu les connais déjà.

Le Bescherelle grammaire est la partie la plus importante point de vue quantitatif mais aussi la plus difficile.

Dedans on retrouve toutes ces bonnes vieilles règles de grammaire apprises tout au long de notre scolarité. Vous savez ? Le COD, le COI, le groupe nominal, les prépositions… enfin tout ce qu’on a appris à l’école et au collège quoi !
Celui-ci est divisé en 29 chapitres qui reprennent chacun une règle de grammaire précise.
Je ne vais pas vous lister ici les 29 chapitres, ce qui n’aurait absolument aucune intérêt. Sachez simplement que dedans on trouve : L’article, l’adverbe, la ponctuation ou encore les prépositions subordonnées.

Chaque chapitre est composé de plusieurs paragraphes.
Un petit préambule intitulé « ce qu’il faut savoir » débute chacun des différents chapitre. Dedans on nous donne la définition de ce qu’on s’apprête à lire.
En gros, vous vous posez des questions concernant la ponctuation. Vous vous rendez donc au chapitre concerné. Le « ce qu’il faut savoir » vous expliquera à quoi ça sert de mette une ponctuation dans vos phrases.
Ensuite la partie « ponctuation » est divisée en plusieurs paragraphes : la virgule, le point, les parenthèses, les guillemets…
Dans chaque paragraphe on trouve une explication claire ainsi que des exemples pour illustrer.
Bon, c’est sûr je ne vous ai pas donné l’exemple le plus compliqué. La partie « propositions subordonnées » est légèrement plus étoffée. Mais pas de panique ! C’est très bien expliqué et les paragraphes sont aérés. En plus il y a les termes sont mis en valeur grâce aux couleurs et à l’utilisation des caractères gras ou italiques.

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Ce que j’apprécie particulièrement dans ce manuel, c’est qu’il ne traite qu’une règle de grammaire à la fois. Ainsi, même si dans une même phrase on est confronté à plusieurs difficultés grammaticales, le Bescherelle nous permet de les analyser l’une après l’autre, ce qui évite de tout mélanger.

A la fin, on trouve un index alphabétique. Celui-ci reprend une liste des différents termes grammaticaux, prépositions utilisées…
Exemple : vous ne savez pas si dans votre phrase vous devez écrire « quelque » ou « quel que ». Vous vous reportez donc à l’index. Celui-ci vous renvoie à la page 149. Hop ! vous vous précipitez page 149. Et là on vous explique la différence entre les deux. Voilà, maintenant vous ne ferez plus jamais la faute.

Si on en croit l’éditeur, tout le monde peut se servir du Bescherelle Grammaire. Celui-ci est à la portée de tous. J’ai envie de dire que ce n’est pas tout à fait exact.
Certes, les chapitres sont très clairs, et très bien expliqués. On se repère assez facilement. Cependant, il faut bien avouer qu’il est clair quand on possède déjà quelques bases de grammaires. Une personne qui n’aura jamais entendu parler de complément d’objet direct, de groupe verbal ou de complément d’objet second risquerait d’être assez vite larguée et par conséquence d’être dégoûtée de la grammaire.
Ce livre s’avère donc être un très bon complément de toutes les règles que l’on a appris au cours de sa scolarité.

 

Un manuel qu’il est beau, qu’il est bien, qu’il est utile.

Ce Bescherelle présente bien des avantages.
Tout d’abord par son aspect. Sa couverture cartonnée garantit une certaine solidité et protection à l’ouvrage. Il est assez compact, donc facile à ranger et aisément transportable. Les pages sont en papier glacé, ce qui le rend agréable à consulter.
Ensuite par son contenu. Les différentes parties sont très bien expliquées, détaillées et les exemples illustrent très bien l’ensemble. De plus, les couleurs et caractères utilisés aident à la compréhension. Les textes sont aérés. Le tout permet un bon confort de lecture et évite que l’on se sente assailli par des règles de grammaires ou de conjugaisons de 50 lignes, qui nous donneraient plus envie de fermer le bouquin plutôt que d’en savoir plus.
Enfin, parce que l’idée de rassembler les trois Bescherelle : Orthographe, conjugaison et grammaire, en un me semble une excellente idée. Tout d’abord ça représente tout de même un certain gain de place. Mais aussi parce que si on regarde bien, les uns sont souvent indissociable des autres. En effet, certaines règles de conjugaison nous renvoient systématiquement à la partie grammaire et vice-versa.
Mais pourquoi qu’il faut l’avoir chez soi ce Bescherelle ?
Pour tout plein de raison !!
• Parce que je ne suis pas une Bernard Pivot en herbe.
J’ai beau écrire à peu près correctement, il y a toujours et encore des choses qui m’échappent concernant l’orthographe ou la grammaire.

• Parce que c’est quand même mieux d’écrire un article sur son blog, une lettre de motivation ou une lettre à une administration sans fautes à tous les mots.
« Madame Seuneucefeu, je vous écrie pour savoir si vous ambocheriez encore parce que j’aimerai postuler pour être vendeuse de billet de trains ». C’est pas glop ! Et madame Seuneuceufeu bah elle aura peut-être pas envie de lire toute une lettre comme ça. [toute ressemblance avec une société existant ou ayant existé n’est que pure coïncidence]

• Oui mais Word il corrige automatiquement les fautes.
Oui, mais non !
D’accord Word corrige quelques fautes. Le problème c’est que d’une il est quand même très limité et de deux il ne corrige pas forcément quand il le faut.
Exemple : si j’écris « les bras m’en sont tombé » (et en plus ça fait mal), il ne détecte aucune faute. Pour word « tombé » est bien conjugué.
En revanche si j’écris « nous nous sommes enfuis » la répétition du « nous » bah il aime pas ça.
Word montre donc très vite ses limites. Il peut être utile pour repérer une faute de frappe ou une coquille dans un texte mais ça s’arrête là.

• Et puis parce que… bah parce que faut l’avoir et pis c’est tout.

 
Mais à qui qu’il s’adresse ce Bescherelle ?
Je dirais à presque tout le monde.
Au collégien à qui il apportera un complément aux cours de français qu’il aura écouté avec la plus grande attention.
Au lycéen qui pourra s’appuyer dessus pour rédiger une dissertation. (La couverture est solide, pas de risque de l’écraser en s’appuyant trop fort)
A l’étudiant qui pourra s’aider de ce manuel pour écrire son mémoire.
Au salarié qui pourra rédiger un compte rendu de réunion sans faute d’orthographe ou de grammaire.
A l’écrivain en herbe qui s’en servira pour dompter les mots et ainsi mieux jongler avec.
Et puis à tous ceux et celles qui hésitent sur un verbe, un mot ou un accord.

Oui mais c’est qui Presque de « presque tout le monde » ?
Comme je l’ai dit plus haut, bien que le livre soit très clair, je pense que pour s’en servir correctement il faut connaître les règles fondamentales de grammaire et conjugaison. Il s’adresse donc aux personnes qui maîtrisent la langue française. A mon avis, une personne non francophone ne parlant pas bien français aura beaucoup de mal à s’y retrouver.

 

Quelques infos sur cette édition

Ce Bescherelle, que j’ai acheté en 2001, a été édité en 1997.
Il est indiqué que cette édition a été réalisée exclusivement pour France Loisirs par les éditions Hatier.
J’ignore si aujourd’hui c’est encore le cas, ou si Hatier a fini par élargir son public. J’espère que l’éditeur aura eu cette intelligence-là afin d’en faire profiter un maximum de personnes.
Quoiqu’il en soit, je vous conseille vivement d’investir dans ce manuel. Les 19,95€ (prix chez France Loisirs) seront très vite rentabilisés.

19 réflexions sur “Article reconnu d’utilité publique

  1. J’ai du mal parfois…mais c’est plus de l’inattention…j’ai parfois de gros doute mais moins souvent que ses putains de fautes d’inattention…!! Et là pas de secret contre ça: Faut lire…et lire encore!

    • Bah tu vois, je ne suis pas persuadée que la lecture aide vraiment à faire moins de fautes. En tout cas, ça ne marche pas pour tout le monde… parce que je connais des personnes qui lisent beaucoup, et sont incapables d’écrire une phrase sans faire 15 fautes.

  2. L’article que j’aurais pu écrire !! Je ne cesse de vérifier et vérifier encore dans le Besherelle à cause de toutes les fautes que mes élèves font dans leurs copies. Alors que j’étais un as de la langue, mes élèves me pourrissent le cerveau !

  3. Je vais me l’acheter, moi qui suis mauricienne et qui a énormément du mal a écrire le français, je pense que ça m’aiderais beaucoup. Merci pour cette découverte.

  4. je n’ai pas acheté de Bescherelle mais j’ai toujours internet et le site du même nom pour vérifier quand j’ai un gros doute … (par contre des fautes j’en fais et je le sais ..; je ne me relis tout simplement pas assez><)
    par contre si tu me permets une remarque sur ton blog, (pas une faute je te l'accorde volontiers ^^ ) mais ton fond de page, ça rends la lecture du texte un peu compliquée pour le coup ^^

    • ah non autant pour moi (ou au temps pour moi je n’ai jamais su … tu n’aurais pas une explication la dessus ?) le fond d’écran c’est un problème de mon navigateur web donc ça ne doit être que chez moi ^^

  5. Dans ton « à qui s’adresse-t-il ? », j’aurais bien ajouté les blogueurs et blogueuses, car les fautes sont légion sur les blogs (même de lecture !), et c’est parfois très douloureux pour les yeux.

  6. Pourquoi ranger les gens dans deux catégories : « à l’aise avec les mots » et « à l’aise avec les chiffres » ? Tu ne le dis pas exactement en ces termes, mais ton introduction le laisse bien sous-entendre 😉

    Les deux ne sont bien heureusement pas mutuellement exclusifs !

  7. Mdr! oui moi aussi j’ai du mal avec les gens qui font des fautes… parce que moi les fautes, je les vois tout de suite et elles me font mal aux yeux :s mais bon, ce n’est pas forcément de leur faute (ahah) et comme tu le dis, on ne peut pas être bon en tout 🙂 bonne fin de journée!

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